#Covid-19, des malades épuisés par des symptômes qui durent:
Fatigue extrême, douleurs articulaires, gêne respiratoire… Des dizaines de jours après l’apparition de la maladie, de nombreux convalescents continuent d’en ressentir les effets. Et se sentent parfois délaissés par le corps médical.
« Un jour, j’ai mon âge, et le lendemain, j’ai la sensation d’avoir 90 ans. » Stéphane Gilles résume ainsi son quotidien depuis qu’il a ressenti les premiers symptômes du Covid-19, aux alentours du 18 mars. Plus de soixante-dix jours au cours desquels ce chef d’entreprise lyonnais de 57 ans, sportif et sans antécédents médicaux, a appris à vivre avec des hauts et des bas. Le test sérologique – destiné à repérer la présence d’anticorps spécifiques au SARS-CoV-2 – effectué il y a trois semaines lui est revenu positif. « Je suis toujours fatigué, j’ai encore du mal à respirer. Hier, j’ai monté deux escaliers, j’ai cru que j’allais tomber dans les pommes, explique-t-il d’une voix posée. Un sac de courses que je dépose sur une table, il me faut une heure pour m’en remettre. »
Au bout de cinq semaines, il se croyait pourtant guéri de la maladie, qui s’est déclarée comme « une sorte de petite pharyngite ». Comme lui, combien sont-ils à ressentir des symptômes plusieurs semaines, voire plusieurs mois après avoir été contaminés ? Difficile à évaluer car il n’existe pas encore à ce jour de statistiques. Gêne respiratoire persistante, oppression thoracique, tachycardie, vertiges, névralgies de type sciatique, douleurs articulaires, crampes, fourmillements dans les jambes et les mains, migraines, pertes de mémoire, éruptions cutanées… le spectre des manifestations décrites est très large.
Patricia (certains malades préfèrent témoigner sous le couvert de l’anonymat), elle, a eu les premiers symptômes du Covid-19 le 16 mars : fortes courbatures, maux de tête, grande fatigue, un peu plus de 38 °C de température, une pesanteur sur la poitrine et une toux plutôt faible. Près de onze semaines plus tard, cette femme de 55 ans, habituée des sports d’endurance, souffre toujours de cette inflammation thoracique, des sensations de brûlure comme de l’air glacé à l’intérieur des poumons, et une toux sèche que la chaleur aggrave, ce qui gêne sa respiration, notamment la nuit.
Un suivi effectué en milieu hospitalier a montré des examens médicaux (scanner, bilan sanguin, exploration fonctionnelle respiratoire) normaux. Elle doit prendre un traitement utilisé habituellement contre l’asthme pour apaiser la gêne respiratoire. « J’ai repris le travail le 4 mai à plein temps, malgré la réticence du médecin du travail, en pensant qu’avec le télétravail ça passerait, mais il a fallu se rendre à l’évidence au bout de deux semaines et demie, et passer à mi-temps en raison d’un épuisement dès la mi-journée et de problèmes de concentration. »
L’impression de ne pas être pris en compte
Nombreux sont ces patients présentant une forme longue de la maladie – malgré l’absence supposée de facteurs de risque – à n’avoir pu se faire prescrire de test virologique (dit « PCR ») au début de l’épidémie, tests réservés alors aux cas graves et au personnel soignant.
Quand elle s’est rendue aux urgences le 25 avril en raison d’un seuil de D-dimères (marqueurs biologiques d’une activation de la coagulation) trop élevé, Virginie, 42 ans, s’est vu répondre qu’elle n’avait peut-être jamais contracté le virus dans la mesure où elle n’avait pas été testée : « On m’a dit : “Ne vous inquiétez pas, le scanner thoracique et l’angioscanner sont bons” », raconte, entre deux toussotements, cette mère de famille de Seine-et-Marne, dont les premiers symptômes remontent au 18 mars. « Notre corps nous dit quelque chose et les résultats sanguins autre chose, c’est très perturbant, on commence à douter de soi-même. J’ai même pensé à aller voir un psy en me disant : c’est dans ma tête. »
Pour ces malades dont l’état n’a pas nécessité une hospitalisation d’office, la médecine a encore trop peu de réponses à fournir. A l’épuisement de la maladie s’ajoutent un sentiment de désarroi et parfois l’impression de ne pas être pris en compte par le corps médical. Quand on n’invoque pas ouvertement devant eux le syndrome du malade imaginaire… « Le réflexe est de tout mettre sur l’anxiété. La dernière fois que j’ai appelé le SAMU, début mai, à cause de grosses céphalées et vertiges, on m’a envoyé balader », témoigne Nicolas, 42 ans, éducateur sportif à Yerres (Essonne), symptomatique depuis le 12 mars.
Quant aux entourages personnel et professionnel, eux non plus ne se montrent pas toujours empathiques : « Certains nous disent : est-ce que tu n’en fais pas un peu trop ?, raconte Arnaud Fillion, commercial de 57 ans résidant à Vaucresson (Hauts-de-Seine), qui vient de franchir le seuil des quatre-vingts jours de maladie. Dans l’esprit collectif, le Covid, soit c’est une grosse grippe, soit on est gravement malade et hospitalisé, mais si votre état est entre les deux, ça déstabilise les gens. »
Une « courbe parfaite »
Estimant que ces patients représentent en quelque sorte l’« angle mort » de l’épidémie, une psychologue de la région parisienne, connue sur Twitter sous le pseudonyme @lapsyrévoltée, a décidé le 12 avril de lancer le mot-dièse #apresJ20. Depuis, sous ce mot-clé – et désormais #apresJ60 –, ils sont des centaines d’internautes à partager leurs expériences et décrire, jour après jour, l’évolution de leur propre tableau clinique.
En compilant depuis deux mois et demi leurs témoignages, la psychologue observe une « courbe parfaite » : après une première phase virale entre dix et quinze jours souvent peu intense, parfois sans fièvre, puis une accalmie entre cinq et dix jours, survient une rechute brutale entre J20 et J30. « La tachycardie et l’essoufflement sont alors systématiques, puis des symptômes périphériques s’installent comme des problèmes rénaux ou neurologiques. Plus on avance dans le temps, plus ce sont des symptômes d’allure inflammatoire », résume-t-elle.
Sur Facebook, des groupes ont également vu le jour, comme « Soutien Covid19 de J1 à #apresJ60 », dont le millier de membres sont invités chaque jour à faire part de leur « météo intérieure ». Les médecins font, eux aussi, état de patients ayant du mal à remonter la pente.
Prises de sang, électrocardiogramme, scanner thoracique, tests PCR et sérologique négatifs… malgré la batterie de tests effectués, les maux de Nicolas restent à ce jour inexpliqués. Certains malades ont pu voir poser un diagnostic sur une partie de leurs symptômes.
C’est le cas d’Anaïs Enet-Andrade, malade depuis près de quatre-vingts jours, dont le cardiologue a décelé une péricardite (inflammation de la membrane autour du cœur) à J35. Depuis, cette Parisienne sportive de 35 ans suit un traitement et observe que la tachycardie qui s’était déclarée « s’est arrêtée depuis quelques semaines ». Son compagnon, en revanche, dont la maladie s’est manifestée vingt-cinq jours après elle, « n’a rien cliniquement donc il n’a pas de traitement, pourtant il a parfois les poumons en feu. C’est déroutant et désespérant ».
La jeune femme, chargée de projet dans une association, déplore aussi le manque d’accompagnement de ces personnes qui font le « yo-yo » par Covidom, la plate-forme permettant un suivi à distance quotidien et automatisé des malades ne nécessitant pas d’hospitalisation. Elle-même a été accompagnée jusqu’au 30e jour « et du jour au lendemain, plus rien. Quand j’ai eu une rechute à J35, j’ai essayé plusieurs fois de les recontacter, en vain ». Pour ces patients, des consultations post-Covid commencent à être mises en place, comme à la Pitié-Salpétrière, à Paris, ou à l’hôpital Nord de Marseille.
Une forme d’impuissance
Le 24 mai, Virginie a dû être hospitalisée pour de très fortes douleurs aux jambes. Le verdict est tombé deux jours plus tard : « syndrome de type fibromyalgie associé à un syndrome antiphospholipidique post-Covid-19 sans thrombose ». Elle n’a pas de traitement spécifique car la fibromyalgie reste mal connue, mais s’est vu prescrire un antalgique pour atténuer la douleur. « Je suis soulagée de savoir pourquoi j’avais ces coups de poignard dans les jambes », murmure la jeune quadragénaire, dont la sérologie s’est révélée positive.
Face à des symptômes si polymorphes, les médecins avouent une forme d’impuissance, tâtonnant avec les traitements. Certains patients ont accès à des corticoïdes ou à des antihistaminiques, d’autres ressortent de la consultation uniquement avec du paracétamol et des vitamines. « Certains médecins ont la main leste sur les psychotropes : ils prescrivent des anxiolytiques avec un fort pouvoir addictif ou des somnifères, y compris à des personnes dans des états de fragilité terrible », s’alarme @lapsyrévoltée.
L’incertitude génère, sinon du stress post-traumatique, au minimum des épisodes de déprime et de la souffrance personnelle. Quand il aura retrouvé un peu d’énergie, Arnaud Fillion a prévu de se faire accompagner : « Aujourd’hui, on est un peu en mode survie, on priorise », dit ce cycliste accompli.
Surtout, devant une maladie dont ils peinent à voir la fin, beaucoup s’inquiètent des éventuelles séquelles à terme. « Est-ce que ça attaque le système immunitaire ? Est-ce que c’est lui qui se retourne contre-moi ?, s’interroge Nicolas. Mon inquiétude porte surtout sur les symptômes neurologiques. Mais j’ai conscience qu’à l’heure actuelle, je n’aurai pas de réponse. » C’est, pour tous, la seule certitude du moment.
Des malades épuisés par des symptômes qui durent, source: Le Monde
Ci-après l’essentiel du message que j’ai envoyé ce matin au Président Emmanuel Macron.
Espérons que le contenu de ce message aidera les personnes qui sont ou qui ont été atteintes par le Covid.
COVID-19
Cette affection se soigne actuellement avec de l’oxygène.
Et si nécessaire, les soignants complètent le traitement avec un anticoagulant et/ou un anti-inflammatoire.
OXYGENE
Au lieu d’insuffler de l’oxygène aux patients dans un lieu clos (hôpital),
pourquoi ne pas tenter l’expérience de soigner les personnes atteintes du Coronavirus dans un hôpital isolé, situé au milieu des arbres.
Sur une colline bien boisée ou dans une forêt, le taux d’oxygène naturellement présent dans l’air est bien supérieur au taux d’oxygène en ville.
En y ajoutant, au cas par cas, un anticoagulant et/ou un anti-inflammatoire, il serait intéressant de voir si cette pandémie pouvait se combattre de cette façon.
Il faudrait placer cet « Hôpital Expérimental » au milieu d’arbres à « feuillage persistant » car ils délivrent de l’oxygène toute l’année.
A mon avis, cette solution sera efficace pour les personnes hospitalisées dès les premiers symptômes. Mais elle ne suffira peut-être plus, aux personnes dont les organes ont déjà subi de vraies dégradations.
Je fais partie des personnes d’un certain âge, dites « fragiles », et j’ai eu successivement divers « symptômes du coronavirus ». Certains étaient plutôt alarmants.
Ces symptômes apparaissaient, à chaque fois, après que j’étais sortie de chez moi.
A mon domicile, aucun symptôme. J’y vis dans une ambiance bien oxygénée : 7 plantes vertes dans mon petit appartement de 18 m². Et dernièrement, j’y ai ajouté une 8ème plante, une fougère, excellente productrice d’oxygène.
Mais dès que je sortais à l’extérieur, les symptômes du coronavirus apparaissaient et il fallait que je me soigne de suite pour éviter l’aggravation.
la 1ère fois : fièvre à 37,6 avec mal de tête et douleurs articulaires. J’ai pris des gélules de plantes pour combattre la fièvre et les douleurs articulaires.
la 2ème fois : un fort mal aux poumons. Là, c’était très sérieux et j’avoue que j’ai pris peur. J’ai pris une forte tisane de Thym et Herbes de Provence.
la 3ème fois : mal aux poumons, mais moins fort que la fois d’avant.
la 4ème fois : il s’est formé comme un chapelet sur l’une des veines de mon pied gauche (à mon avis des caillots de sang, donc risque de phlébite). J’ai pris des gélules de plante anticoagulante.
Puis, enfin, plus rien. Je pouvais sortir de chez moi et y revenir sans symptômes.
Nous étions au printemps. Dans la nature, les arbres feuillus refaisaient des feuilles.
L’air extérieur était à nouveau mieux chargé en oxygène.
N’oublions pas que les 2/3 des forêts françaises sont des forêts de feuillus.
Et comme je l’avais imaginé et espéré, la pandémie a ralenti, jusqu’à faire croire qu’elle allait disparaître.
Au printemps, la pandémie avait effectivement ralenti, mais il fallait prendre en compte les probables Feux de Forêts de l’Eté et prendre en compte le risque d’Assèchement des arbres, à cause des fortes chaleurs.
Tout le monde a pu constater qu’il y a maintenant de nombreux arbres dont une partie des branches sont asséchées.
Autant de production d’oxygène en moins, dans l’air environnant.
S’en sont suivies les fameuses reprises de la pandémie à Marseille et autres villes environnantes.
Ces reprises s’expliquent facilement par la diminution de l’oxygène dans l’air, suite aux Incendies de Forêts dans les environs de Marseille et à l’Air vicié dégagé par la combustion des arbres …
Nous pouvons y ajouter les derniers grands Feux de Forêts en été (USA et autres pays) qui ont encore abaissé le taux d’oxygène présent dans l’atmosphère de la Planète.
L’air circule et se répand sur l’ensemble de la Planète. Les Arbres sont producteurs d’oxygène. La diminution d’Arbres en un lieu, entraîne la diminution du taux d’oxygène dans l’air, sur l’ensemble de la Planète
Et l’air vicié que dégagent les Feux de Forêts, circule. Projeté dans l’atmosphère, il se dissipe sur de grandes distances et impacte l’air que tout vivant respire.
Nous respirons un Air, de moins en moins chargé en Oxygène.
Des Feux de Forêts, il y en a eu, presque chaque jour, cet été.
https://www.catnat.net/veille-catastrophes/veille-des-catastrophes-naturelles/veille-catastrophes-monde/222-incendies-de-foret-monde
https://www.catnat.net/veille-catastrophes/veille-des-catastrophes-naturelles/veille-catastrophes-france/206-incendies-de-foret-france
A noter que les symptômes du Covid sont tout à fait ceux de l’Hypoxie avec des circonstances plus favorables à la survenue de la maladie et des conséquences plus lourdes, vu qu’au fur et à mesure du temps, année après année, à cause des nombreuses déforestations et innombrables incendies de forêts, l’oxygène contenu dans l’atmosphère de la Planète, a diminué.
Il arrive un moment où le taux d’oxygène dans l’air, pose problème aux organismes moins résistants.
A voir aussi ce qui est appelé « l’Hypoxie heureuse ». Qu’est-ce que l’”hypoxie heureuse” ?
Des médecins ont constaté que certains patients atteints de Covid-19 avaient une saturation en oxygène très basse, sans pour autant présenter, en apparence, les signes d’une détresse respiratoire.
Voir la Vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=3tYug4x0whQ
Voir les articles :
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2020/05/hypoxie-silencieuse-quand-le-coronavirus-covid-19-appauvrit-lorganisme-en-oxygene
https://association-victimes-coronavirus-france.org/quest-ce-que-lhypoxie-heureuse/
Pour ma part, j’ai acheté un « Oxymètre » qui me permet de connaître mon taux d’oxygène dans le sang.
La saturation normale en oxygène se situe entre 95% et100 %.
Lorsqu’elle est en deçà de 90%, elle est considérée comme anormale.
Et maintenant, la 2ème vague s’amorce. Pourquoi ?
Nous sommes en automne. Peu à peu, en France, les arbres feuillus perdent leurs feuilles.
Et l’air s’appauvrit à nouveau en oxygène.
La pandémie s’intensifie peu à peu, en commençant par les régions plus froides dans lesquelles les feuillus perdent leurs feuilles, en premier.
Et lorsque tous les feuillus auront perdu leurs feuilles, sans doute connaitrons-nous le pic de la pandémie … en attendant le printemps prochain.
Faites l’expérience d’un Hôpital COVID en Forêt ou sur une Colline bien boisée.
Et si cette expérience réussit, faites l’expérience en ville, d’un Hôtel-Restaurant végétalisé (avec de nombreuses plantes vertes au restaurant et dans les couloirs) qui héberge et nourrit des personnes (peut-être même sans masque ni distanciation), pendant 2 semaines.
Si ces expériences réussissent, vous comprendrez que la pandémie est liée à la diminution du taux d’oxygène dans l’air qui nous entoure.
A remarquer que les scientifiques n’évoquent jamais la Déforestation et les Feux de Forêt (qui engendrent une baisse conséquente de production d’oxygène) comme étant la cause probable de la Pandémie Coronavirus.
Et pourtant, ce sont 7,6 milliards de personnes sur terre qui respirent constamment et ont besoin d’une quantité suffisante d’oxygène pour fonctionner normalement.
Il faut que l’obligation de distanciation et l’obligation de porter un masque, s’arrêtent.
L’Europe doit reprendre ses activités et échanges.
Je suis Guide Touristique. Pour 2020, j’avais de nombreuses réservations de Groupes allemands, italiens, suisses, autrichiens, belges. A part mes guidages du début mars 2020, tout a été annulé.
Je ne supporte pas de ne plus avoir d’activité.
Geneviève MARCK
Auteur des Pétitions :
« POUR une POLITIQUE de REBOISEMENT de la PLANETE »
https://www.change.org/p/pour-une-politique-de-reboisement-de-la-planete
« NON à la DESTRUCTION des FORETS FRANCAISES – NON aux FORETS MONOTYPE »
https://www.change.org/p/non-%C3%A0-la-destruction-de-nos-forets-non-aux-forets-monotype-sans-chant-d-oiseau-sans-vie-animale-sans-sous-bois
« STOP aux INONDATIONS – REBOISEZ la PLANETE ! »
https://www.change.org/p/emmanuel-macron-stop-aux-inondations